Le vecteur est un format de données dans les SIG qui représente des éléments géographiques à l’aide de points, de lignes et de polygones. Ces formes géométriques simples, mais puissantes, dessinent les routes, les rivières, les frontières et les bâtiments, offrant une représentation claire et structurée du territoire.
Une couche géographique est un ensemble de données spatiales qui représente un type spécifique d’information dans un SIG, comme les routes, les rivières ou les altitudes. Ces couches, empilées les unes sur les autres comme des voiles transparents, révèlent les multiples facettes du paysage lorsque superposées, chaque couche apportant sa
L’analyse spatiale est l’ensemble des techniques utilisées dans les SIG pour interpréter les relations spatiales entre différents éléments géographiques. Ce processus complexe, semblable à un puzzle où chaque pièce est un fragment de terre, permet de comprendre les dynamiques du territoire, révélant les connexions invisibles entre les objets et les
L’interrogation spatiale est une méthode d’extraction d’informations géographiques à partir de critères spécifiques dans un SIG. Cette technique permet de poser des questions précises à la carte, comme un dialogue avec le paysage, pour trouver des réponses cachées dans les coordonnées et les distances.
Un glacis est une pente douce située au pied d’un relief montagneux ou d’une falaise, souvent formée par l’érosion. Ces surfaces inclinées, couvertes de débris rocheux, sont les vestiges des montagnes, où la gravité et l’érosion ont lentement fait descendre la roche vers la plaine.
Un vallon est une petite vallée creusée par un ruisseau, souvent encaissée entre des collines. Ce creux discret, où le murmure de l’eau se mêle au chant des oiseaux, est un refuge naturel sculpté par l’érosion d’un cours d’eau.
La nappe phréatique est une couche d’eau souterraine qui alimente les processus de sapping lorsqu’elle s’infiltre dans les couches superficielles du sol ou des roches. La présence d’une nappe phréatique proche de la surface peut accélérer le sapping, affaiblissant les structures rocheuses ou sédimentaires.
Le remaniement de pente est un processus où la forme d’une pente change à cause de l’affaissement ou de l’érosion, souvent causé par le sapping. La pente, jadis solide, devient fluide sous l’effet de l’eau qui sculpte et transforme les reliefs, offrant un nouveau visage à la montagne ou à
Le ravinement est un processus d’érosion qui creuse des sillons dans le sol, souvent amplifié par l’eau qui s’infiltre et provoque le sapping. Ces ravins sont comme des cicatrices laissées par le passage de l’eau, transformant les terres plates en reliefs complexes, témoins de la force érosive des éléments.
Un surplomb érodé est une formation rocheuse ou un talus dont la base a été sapée par l’eau, laissant la partie supérieure suspendue dans le vide. Ce surplomb, fragile et éphémère, finira par céder sous l’effet du sapping, rappelant que la gravité et l’eau finissent toujours par triompher.
Une cavité de sapping est une cavité souterraine formée par l’érosion de la roche ou du sol sous l’effet du sapping. Ces cavités, invisibles à l’œil nu, sont des pièges naturels prêts à provoquer des effondrements soudains, révélant la fragilité de la terre sous nos pieds.
Les colluvions sont des dépôts de matériaux transportés par la gravité et l’érosion, souvent causés par des glissements de terrain et des effondrements dus au sapping. Ces dépôts, accumulés au pied des pentes, sont les vestiges des transformations géologiques, où les montagnes sont ramenées à la terre morceau par morceau.
Une rivière souterraine est un cours d’eau qui s’écoule sous la surface terrestre, souvent impliqué dans les processus de sapping. Ces rivières cachées, sculptant les paysages sous terre, sont les artisans silencieux des effondrements et des changements de relief en surface.
La tête de talus en recul désigne la partie supérieure d’un talus qui se déplace lentement vers l’intérieur à cause du sapping. Ce mouvement presque imperceptible recule les falaises et les escarpements, traçant une nouvelle frontière entre la terre et le vide.
Un canal de sapping est une formation linéaire creusée par l’eau sous la surface terrestre, entraînant un affaiblissement des couches rocheuses ou sédimentaires et menant à l’effondrement progressif. Ces canaux cachés sont des couloirs d’érosion, là où la terre semble s’effondrer de l’intérieur.
La rupture de pente est un effondrement soudain d’un talus ou d’une paroi affaiblie par le sapping, où la base de la pente cède, emportant avec elle des matériaux en amont. Ce phénomène brutal est l’aboutissement de forces invisibles à l’œuvre depuis des années, là où la pente se brise
L’érosion régressive est un type d’érosion où la tête d’un cours d’eau ou d’une paroi recule sous l’effet du sapping et du ruissellement. Ce processus modifie lentement mais sûrement le paysage, faisant reculer falaises et ravines, là où l’eau emporte peu à peu la terre et la roche.
Le sapping est un processus d’érosion souterrain où l’écoulement de l’eau sous la surface affaiblit la structure des parois rocheuses ou des sols, provoquant leur effondrement. Ce phénomène invisible, mais puissant, creuse les terres doucement, les effaçant à petit feu comme un murmure sous la terre, là où l’eau travaille
Une source érosive est un point où l’eau souterraine resurgit à la surface, emportant avec elle des particules de sol ou de roche, contribuant ainsi à l’érosion par sapping. Ces résurgences, souvent discrètes, sont les témoins des forces souterraines à l’œuvre, là où l’eau mine la surface pour mieux la
Le sapping basal est un processus où l’eau érode la base d’une paroi rocheuse ou d’un escarpement, provoquant un affaiblissement structurel et un effondrement éventuel. C’est un travail silencieux et précis, là où l’eau sape les fondations du relief, provoquant des chutes de pierres ou des glissements de terrain.