Lexique

Espèce d’arbrisseau qui n’atteint que très peu de hauteur. Plante ligneuse dont les branches ne naissent pas de boutons formés l’année précédente.

Corps d’un arbre, tige considérée sans les branches. Origine, de la partie principale d’un vaisseau, d’un nerf. Partie principale du corps d’un homme, d’un animal, sans la tête ni les membres. Partie comprise entre la base d’un cône, d’une pyramide, d’un prisme, et sa section par un plan. Fragment d’un

Plante désigne un organisme vivant, principalement autotrophe, appartenant au règne végétal et caractérisé par sa capacité à produire de la matière organique à partir de la lumière (photosynthèse). Les plantes se distinguent par leurs racines, leurs tiges, leurs feuilles et, pour certaines, leurs fleurs et leurs fruits. Elles jouent un

Partie souterraine d’un végétal qui lui permet de puiser dans le sol les éléments nécessaires à sa nutrition (eau, sels minéraux) et d’assurer sa fixation à son support.

La partie ramifiée et aérienne d’un arbre depuis le tronc. Structure qui se subdivise de la manière ci-dessus. Différentes parties ou divisions de certaines choses. Diverses choses qui ont avec les branches des arbres un certain rapport de forme et de position.  

Plante rase des lieux humides.

Substance dure et fibreuse des arbres. Ensemble d’arbres assez proches, délimité par une lisière. La forêt en général. (Musique) Famille d’instruments à vent de matières très variées (bois, métal, plastique, terre cuite, os, ivoire, cristal… ) comprenant : Os des cervidés qui pousse sur leurs têtes. En horticulture : menues

Arbre désigne un végétal ligneux caractérisé par un tronc unique qui se ramifie en branches, soutenant un ensemble de feuilles ou d’aiguilles. Cet organisme, souvent pérenne, peut atteindre des dimensions considérables et vivre plusieurs décennies, voire plusieurs siècles. Au-delà de son rôle écologique (production d’oxygène, stockage du carbone, refuge pour

Les Feuilles désignent l’ensemble des organes plats et généralement verts qui poussent sur les tiges ou les branches des plantes, en particulier des arbres. Elles ont un rôle essentiel dans la photosynthèse, la respiration et la transpiration, permettant à la plante de se nourrir et de se développer. Les feuilles

Esprits protecteurs du foyer, de la famille et des lieux spécifiques. Chaque maison romaine avait un autel domestique (lararium) pour honorer les Lares et demander leur protection. Ils étaient souvent représentés comme des figures joyeuses tenant des cornes d’abondance.

Divinités du foyer et de la garde-manger, protectrices de la famille et des biens domestiques. Les Pénates étaient vénérés aux côtés des Lares dans les maisons romaines et étaient considérés comme essentiels à la prospérité et à la sécurité domestique.

Nymphes prophétiques et protectrices des sources et des rivières. Elles étaient associées à la déesse Carmenta et invoquées pour des conseils et des prophéties. Les Camenae étaient également considérées comme des divinités de la poésie et de la musique.

Dieu des forêts, des champs et des troupeaux. Silvanus protégeait les bois et les champs cultivés, assurant la fertilité et la croissance des plantes. Il était souvent représenté comme un vieil homme portant une couronne de feuilles et tenant une branche d’arbre.

Divinités de la vengeance, similaires aux Érinyes grecques. Les Furies poursuivaient les criminels, en particulier ceux coupables de crimes contre la famille, jusqu’à ce que justice soit rendue. Elles étaient souvent représentées comme des femmes ailées avec des serpents entrelacés dans leurs cheveux.

Esprits des ancêtres bienveillants qui étaient honorés et vénérés dans les rites funéraires. Les Romains croyaient que les Manes pouvaient influencer la prospérité et le bien-être des vivants. Ils étaient souvent invoqués lors des Parentalia et des Feralia, des festivals pour honorer les morts.

Créatures magiques associées aux rites et aux cérémonies religieuses. Les fasci étaient souvent invoqués pour protéger contre les mauvais esprits et les influences négatives. Ils étaient considérés comme des symboles de pouvoir et d’autorité dans la religion romaine.

Esprits malveillants ou démons nocturnes qui attaquaient les enfants et les nourrissons. Les stryges étaient souvent associés aux vampires ou aux sorcières et étaient considérés comme des présages de malheur. Les Romains utilisaient divers amulettes et incantations pour se protéger contre les stryges.

Créatures mythologiques avec le corps d’un lion et la tête et les ailes d’un aigle. Les griffons étaient considérés comme des gardiens des trésors et des objets précieux. Ils symbolisaient la vigilance, la force et la protection, et étaient souvent représentés dans l’art et la littérature romains.

Divinités marines mi-hommes, mi-poissons, souvent représentées soufflant dans des conques marines pour apaiser ou agiter les flots. Les tritons étaient les messagers de Poséidon (Neptune) et étaient considérés comme des protecteurs des mers et des océans. Ils étaient souvent invoqués pour assurer la sécurité des marins.

Créature mi-femme, mi-serpent ou mi-poisson, souvent associée aux rivières et aux sources. Mélusine était considérée comme une protectrice des eaux et des trésors cachés. Elle était souvent représentée comme une femme magnifique avec une queue de serpent ou de poisson, et était invoquée pour assurer la fertilité et la prospérité