Le premier des trois genres de peines. Ce terme signifie littéralement : le mal qui procède du Soi ou qui engendre le mal par soi, c’est-à-dire par le fait de l’homme même.
Non-né ; incréé. Cette épithète est donnée à quelques Dieux primordiaux ; mais plus spécialement au Premier Logos, le rayonnement de l’Absolu, dans le plan de Maya (l’illusion).
Un des noms occultes des douze grands Dieux, qui s’incarnent dans chaque Hanvantara. (On l’identifie avec Kumaras). On nomme aussi ces Dieux Jand et Gnâna Deva. (C’est aussi une des formes de Vishuu dans le second Manvantara).
Unique ou suprême sagesse, appellation donnée par les Aryens primitifs au Dieu inconnu. Ce terme, fréquemment employé par Aryasanga dans ses OEuvres, a été employé par les
Etat de non-moi ; dans l’Esotérisme Bouddhique, cette expression désigne l’état d’inconscience, la conception de l’Absolu, considéré soit comme être, soit comme non-être.
Ce terme signifie littéralement, le premier produit, ou le premier fait. C’est la force créatrice éternelle ou incréée, mais qui se manifeste d’une façon périodique. On applique ce terme à Vishnu sommeillant sur les eaux de l’espace (de l’abîme) pendant le Pralaya.
Les Dévas ou Dieux de la lumière qui planent au-dessus des régions du plan céleste du second Dhyana. Cette classe de Dieux, au nombre de soixante-quatre, représente non seulement un certain cycle, mais aussi un nombre occulte.
Signifie littéralement : choses qui n’ont pas été entendues antérieurement. C’est une sorte de classe de travaux Buddhiques dans laquelle on enseigne les événements phénoménaux et merveilleux.
Ce terme signifie littéralement demi-femme. Siva, représenté comme Hermaphrodite, moitié homme, moitié femme, c’est le type combiné des énergies mâles et femelles. (On dit aussi Ardha-Nari)