Jupiter avait, sous le nom de Patroüs, à Argos, une statue de bois, qui le représentait avec trois yeux, pour marquer qu’il voyait ce qui se passait dans le ciel, sur la terre et dans les enfers. Les Argiens disaient que c’était le Jupiter Patroüs, qui était dans le palais
L’un des rois de l’enfer. S’il se montre aux exorcistes, c’est sous la forme d’un homme à cheval sur un dromadaire, couronné d’un diadème étincelant de pierreries, avec un visage de femme. Deux cents légions, partie de l’ordre des anges, partie de l’ordre des puissances, lui obéissent. Si Paymon est
Divination par les sources. Elle se pratiquait, soit en y jetant un certain nombre de pierres dont on observait les divers mouvements soit en y plongeant des vases de verre, et en examinant les efforts que faisait l’eau pour y entrer et chasser l’air qui les remplissait. La plus célèbre
Kiak-Kiak, Dieu des dieux, ou plutôt démon des démons, idole principale du Pégu est représenté sous une figure humaine, qui a vingt aunes (22,86 mètres) de longueur, couchée dans l’attitude d’un homme endormi. Cette idole est placée dans un temple magnifique, dont les portes et les fenêtres sont toujours ouvertes
Général athénien qui, se défiant de l’issue d’une bataille pour rassurer les siens, fit entrer dans un bois consacré à Pluton un homme d’une taille haute, chaussé de longs brodequins, ayant les cheveux épars, vêtu de pourpre, et assis sur un char traîné de quatre chevaux blancs, qui parut au
Génies femelles du monde Perse. D’une beauté extraordinaire, elles sont bienfaisantes, habitent le Ginnistan, se nourrissent d’odeurs exquises, et ressemblent un peu aux fées européennes. Elles ont pour ennemis les dives.
On appelait petit monde une société secrète qui conspirait en Angleterre au dernier siècle pour le rétablissement des Stuarts. On débitait beaucoup de contes sur cette société : par exemple, on disait que le diable en personne, assis dans un grand fauteuil, présidait aux assemblées. C’étaient des francs-maçons.