Esprits humains et Forces à la fois, émanés du premier Logos ; ils sont le premier rayon de l’Unité ou des sept rayons primordiaux. Ils appartiennent aux trois premiers plans Cosmiques, dont le troisième est le point de départ de la manifestation primordiale. Les ah-hi renferment le mental universel et
C’est le feu ; le nom de l’aither lumineux, autrement appelé Téjas Tattva. Sa couleur est rouge. Les autres couleurs résultent de son mélange avec les autres couleurs.
Contemplation yogique; contemplation de la yoga pratique; état d’extase particulier dans lequel Kundalini est extrêmement développé; alors l’extatique voit l’espace semblable à une nappe ou mer de feu.
Non dualistes, c’est-à-dire qui n’admettent que deux principes en présence dans l’Univers : le Bien et le Mal ; Dieu et un mauvais génie. Il y a des Brahmanes adwaiti.
Soi-conscience ou Soi-identité ; c’est le Moi égoïste, le principe mayavique dans l’homme ; la conception de ce Moi égoïste produit l’ignorance qui sépare notre Moi du Soi Universel ; ce terme désigne aussi la personnalité et l’égoïsme. C’est aussi la soi-conscience universelle, le principe construisant le pronom personnel JE,
Ancêtres solaires qui correspondent à la Triade supérieure; ce sont les Devas de la Sagesse, qui nous donnèrent la Raison. Les agniwatas, qui s’incarnèrent dans la troisième race appartiennent à la Hiérarchie Dyan choanique; c’est-à-dire celle des Esprits planétaires, dont le Logos est la synthèse. Ce sont les agniswatas qui
Doctrine du Brahmanisme ésotérique qui repose sur les trois, cinq ou sept distinctions, que l’on doit établir entre l’Absolu et le relatif, entre l’objectif et le subjectif, enfin entre le collectif et l’individuel. Voici la désignation des sept distinctions : Béhda, Parabrahm, Maya, Djadamsa, Aniyamsa, Brahma, dérivé de la racine
Une des trois voies de la Connaissance. La Connaissance qui nous vient de l’expérience des recherches des autres personnes qui font autorité auprès de nous, est dite venir d’Agama. Les Védas sont pour cela appelés Agamas.
Chez les Hindous, ce terme signifie Fluide pur, lorsqu’une force intelligente et pure le dirige, mais quand il est abandonné à son propre mouvement, l’aither devient Nahash, c’est le serpent de la Genèse. C’est aussi le Nouménon de la Lumière astrale, le voile qui était entre la terre et les
Assesseurs ou greffiers qui assistent au jugement de l’âme désincarnée. Ils rappellent au cœur du défunt la vie de son âme. Ce sont des sortes de Lipikas de la Doctrine ésotérique.
Un des noms occultes des douze grands Dieux, qui s’incarnent dans chaque Hanvantara. (On l’identifie avec Kumaras). On nomme aussi ces Dieux Jand et Gnâna Deva. (C’est aussi une des formes de Vishuu dans le second Manvantara).
Nom Védique de la Mulaprakriti des Védantins, aspect abstrait de Parabrahm, en tant que Non-Manifeste et Inconnaissable. Dans les Védas, Aditi est la Mère-Déesse. Son symbole terrestre étant infini, est l’espace sans limite.
Non-né ; incréé. Cette épithète est donnée à quelques Dieux primordiaux ; mais plus spécialement au Premier Logos, le rayonnement de l’Absolu, dans le plan de Maya (l’illusion).
Etat de non-moi ; dans l’Esotérisme Bouddhique, cette expression désigne l’état d’inconscience, la conception de l’Absolu, considéré soit comme être, soit comme non-être.