Terre désigne, au sens premier, la surface solide de notre planète, là où se développent la vie et l’activité humaine. C’est également une matière organique et minérale qui constitue le sol, propice à la culture et à la fertilité. En géographie, la Terre est aussi le nom de la planète que nous habitons. Le terme « terre » a une connotation forte dans les domaines littéraire et philosophique, symbolisant à la fois l’origine de la vie, l’appartenance à un lieu, mais aussi la notion de labeur, de fertilité et de mortalité. La terre peut représenter à la fois la richesse naturelle, la stabilité ou encore le retour inéluctable à la nature.
- Surface solide de la planète sur laquelle la vie se développe.
- Matière fertile, constituée de minéraux et d’organismes vivants, essentielle à l’agriculture.
- Planète bleue, troisième du système solaire, que nous habitons.
- Symbole de l’appartenance, de la fertilité, de la mortalité et du labeur dans la littérature et la philosophie.
Métaphores utilisant le mot « Terre »
Il travaillait la terre avec amour, sachant que chaque graine plantée était une promesse de vie. (Lexilabs)
Le sang de votre roi, dont la terre est fumante,
Élève encore au ciel une voix gémissante. (Voltaire)
Locutions verbales utilisant « Terre »
- Mettre pied à terre : Descendre d’un véhicule ou d’une monture, signifiant aussi symboliquement revenir à la réalité après un voyage ou une expérience.
- Retourner à la terre : Mourir, être enterré, symbolisant le retour à l’origine, au cycle naturel de la vie.
- Avoir les pieds sur terre : Être réaliste, avoir le sens des réalités et des choses concrètes.
Le mot terre est chargé de sens multiples, à la fois scientifiques et poétiques. La terre est source de vie, de fertilité, mais elle symbolise aussi le lien intime entre l’homme et la nature. Elle est le lieu de labeur, de semences et de récoltes, tout en évoquant des notions profondes d’appartenance, de racines et d’héritage. Dans les récits mythologiques et philosophiques, la terre est souvent perçue comme la mère nourricière, celle qui donne vie et qui, au final, reçoit les vivants après la mort. Elle joue aussi un rôle primordial dans les discours écologiques contemporains, rappelant la fragilité et la richesse de ce que nous habitons.