Lexique

Extension d’un bâtiment, généralement en deux parties de chaque côté au corps principal de l’édifice.

Épée légendaire appartenant à Hildebrand, le mentor de Dietrich von Bern. Blutgang est souvent décrite comme une épée infaillible, conférant à Hildebrand une invincibilité au combat. Elle symbolise la sagesse, la protection, et la transmission des connaissances guerrières.

Épée légendaire dans le cycle des Nibelungen, parfois mentionnée comme l’épée de Hagen, l’un des principaux antagonistes. Adelring est une épée de grande valeur, symbolisant la loyauté, la trahison, et les complexités des relations héroïques.

Épée magique du chevalier Renaud de Montauban dans le cycle des chansons de geste, souvent incorporée dans les légendes germaniques. Balisarda est capable de percer toute protection magique, symbolisant la vérité, la justice, et la lutte contre la sorcellerie.

Épée légendaire de Siegfried dans le cycle des Nibelungen. Balmung, également appelée Nothung dans d’autres versions, est forgée par le forgeron légendaire Regin et est utilisée par Siegfried pour tuer le dragon Fáfnir. Elle symbolise la puissance, la victoire sur les forces maléfiques, et la destinée héroïque.

Épée légendaire appartenant à Dietrich von Bern, un héros du cycle germanique. Eckesachs est souvent décrite comme une épée puissante et magique, capable de vaincre des géants et des dragons. Elle symbolise la bravoure, la protection du royaume, et la lutte héroïque.

Épée légendaire forgée par le forgeron Wieland (Wayland), souvent associée au héros germanique Witige. Mimung est connue pour sa force inégalée et son pouvoir de trancher à travers toute défense. Elle symbolise l’artisanat suprême, la vengeance, et la justice.

Épée légendaire de Dietrich von Bern, souvent considérée comme l’une des épées les plus puissantes de la mythologie germanique. Nagelring est réputée pour sa capacité à percer toute armure et est utilisée par Dietrich dans ses nombreux combats contre des créatures mythiques. Elle symbolise la force, la protection, et la

Divinités du foyer et de la garde-manger, protectrices de la famille et des biens domestiques. Les Pénates étaient vénérés aux côtés des Lares dans les maisons romaines et étaient considérés comme essentiels à la prospérité et à la sécurité domestique.

Nymphes prophétiques et protectrices des sources et des rivières. Elles étaient associées à la déesse Carmenta et invoquées pour des conseils et des prophéties. Les Camenae étaient également considérées comme des divinités de la poésie et de la musique.

Dieu des forêts, des champs et des troupeaux. Silvanus protégeait les bois et les champs cultivés, assurant la fertilité et la croissance des plantes. Il était souvent représenté comme un vieil homme portant une couronne de feuilles et tenant une branche d’arbre.

Divinités de la vengeance, similaires aux Érinyes grecques. Les Furies poursuivaient les criminels, en particulier ceux coupables de crimes contre la famille, jusqu’à ce que justice soit rendue. Elles étaient souvent représentées comme des femmes ailées avec des serpents entrelacés dans leurs cheveux.

Esprits des ancêtres bienveillants qui étaient honorés et vénérés dans les rites funéraires. Les Romains croyaient que les Manes pouvaient influencer la prospérité et le bien-être des vivants. Ils étaient souvent invoqués lors des Parentalia et des Feralia, des festivals pour honorer les morts.

Créatures magiques associées aux rites et aux cérémonies religieuses. Les fasci étaient souvent invoqués pour protéger contre les mauvais esprits et les influences négatives. Ils étaient considérés comme des symboles de pouvoir et d’autorité dans la religion romaine.

Esprits malveillants ou démons nocturnes qui attaquaient les enfants et les nourrissons. Les stryges étaient souvent associés aux vampires ou aux sorcières et étaient considérés comme des présages de malheur. Les Romains utilisaient divers amulettes et incantations pour se protéger contre les stryges.

Créatures mythologiques avec le corps d’un lion et la tête et les ailes d’un aigle. Les griffons étaient considérés comme des gardiens des trésors et des objets précieux. Ils symbolisaient la vigilance, la force et la protection, et étaient souvent représentés dans l’art et la littérature romains.

Divinités marines mi-hommes, mi-poissons, souvent représentées soufflant dans des conques marines pour apaiser ou agiter les flots. Les tritons étaient les messagers de Poséidon (Neptune) et étaient considérés comme des protecteurs des mers et des océans. Ils étaient souvent invoqués pour assurer la sécurité des marins.

Créature mi-femme, mi-serpent ou mi-poisson, souvent associée aux rivières et aux sources. Mélusine était considérée comme une protectrice des eaux et des trésors cachés. Elle était souvent représentée comme une femme magnifique avec une queue de serpent ou de poisson, et était invoquée pour assurer la fertilité et la prospérité

Démons féminins vampiriques associés à Hécate, déesse de la sorcellerie. Les empusae étaient connues pour leur capacité à changer de forme et à séduire les hommes pour leur sucer le sang. Elles étaient souvent représentées avec une jambe de bronze et une jambe d’âne, et étaient considérées comme des présages

Créatures monstrueuses avec cent bras et cinquante têtes, enfants de Gaïa et Ouranos. Les Hécatonchires, également appelés Centimanes, étaient d’une force prodigieuse et jouèrent un rôle crucial dans la guerre des Titans en aidant Zeus à vaincre Cronos. Les trois Hécatonchires étaient Cottos, Briarée et Gygès.