Ancêtres solaires qui correspondent à la Triade supérieure; ce sont les Devas de la Sagesse, qui nous donnèrent la Raison. Les agniwatas, qui s’incarnèrent dans la troisième race appartiennent à la Hiérarchie Dyan choanique; c’est-à-dire celle des Esprits planétaires, dont le Logos est la synthèse. Ce sont les agniswatas qui
Assesseurs ou greffiers qui assistent au jugement de l’âme désincarnée. Ils rappellent au cœur du défunt la vie de son âme. Ce sont des sortes de Lipikas de la Doctrine ésotérique.
Soi-conscience ou Soi-identité ; c’est le Moi égoïste, le principe mayavique dans l’homme ; la conception de ce Moi égoïste produit l’ignorance qui sépare notre Moi du Soi Universel ; ce terme désigne aussi la personnalité et l’égoïsme. C’est aussi la soi-conscience universelle, le principe construisant le pronom personnel JE,
Le premier des trois genres de peines. Ce terme signifie littéralement : le mal qui procède du Soi ou qui engendre le mal par soi, c’est-à-dire par le fait de l’homme même.
Non-né ; incréé. Cette épithète est donnée à quelques Dieux primordiaux ; mais plus spécialement au Premier Logos, le rayonnement de l’Absolu, dans le plan de Maya (l’illusion).
Un des noms occultes des douze grands Dieux, qui s’incarnent dans chaque Hanvantara. (On l’identifie avec Kumaras). On nomme aussi ces Dieux Jand et Gnâna Deva. (C’est aussi une des formes de Vishuu dans le second Manvantara).
Unique ou suprême sagesse, appellation donnée par les Aryens primitifs au Dieu inconnu. Ce terme, fréquemment employé par Aryasanga dans ses OEuvres, a été employé par les
Etat de non-moi ; dans l’Esotérisme Bouddhique, cette expression désigne l’état d’inconscience, la conception de l’Absolu, considéré soit comme être, soit comme non-être.
Ce terme signifie littéralement, le premier produit, ou le premier fait. C’est la force créatrice éternelle ou incréée, mais qui se manifeste d’une façon périodique. On applique ce terme à Vishnu sommeillant sur les eaux de l’espace (de l’abîme) pendant le Pralaya.