Ce terme signifie littéralement, le premier produit, ou le premier fait. C’est la force créatrice éternelle ou incréée, mais qui se manifeste d’une façon périodique. On applique ce terme à Vishnu sommeillant sur les eaux de l’espace (de l’abîme) pendant le Pralaya.
Force divine, primordiale puissance créatrice par excellence. (L’aspect de chaque et dans chaque Dieu mâle.) Sakkidam, le Panthéon Hindou est toujours l’épouse de quelque Dieu.
Nom Védique de la Mulaprakriti des Védantins, aspect abstrait de Parabrahm, en tant que Non-Manifeste et Inconnaissable. Dans les Védas, Aditi est la Mère-Déesse. Son symbole terrestre étant infini, est l’espace sans limite.
Le premier des trois genres de peines. Ce terme signifie littéralement : le mal qui procède du Soi ou qui engendre le mal par soi, c’est-à-dire par le fait de l’homme même.
Non-né ; incréé. Cette épithète est donnée à quelques Dieux primordiaux ; mais plus spécialement au Premier Logos, le rayonnement de l’Absolu, dans le plan de Maya (l’illusion).
Un des noms occultes des douze grands Dieux, qui s’incarnent dans chaque Hanvantara. (On l’identifie avec Kumaras). On nomme aussi ces Dieux Jand et Gnâna Deva. (C’est aussi une des formes de Vishuu dans le second Manvantara).
Unique ou suprême sagesse, appellation donnée par les Aryens primitifs au Dieu inconnu. Ce terme, fréquemment employé par Aryasanga dans ses OEuvres, a été employé par les
Etat de non-moi ; dans l’Esotérisme Bouddhique, cette expression désigne l’état d’inconscience, la conception de l’Absolu, considéré soit comme être, soit comme non-être.
Pierre ou gemmes taillées de formes très diverses, sur lesquelles se trouvent gravé le mot Abraxas ou Abrasax, ou autres formules ou signes symboliques. On les nomme aussi Pierres ou gemmes Basilidiennes, parce qu’elles étaient des symboles pour les Gnostiques. Certains peuples les considéraient comme des amulettes magiques contre certaines
Terme chaldéen ; nom mystique de l’espace signifiant la demeure de Ab, le Père, ou la tête de la source des eaux de la connaissance, dont la science est cachée dans l’espace invisible ou Région Akasique.
Terme gnostique qui désigne le nom de la seconde Sophia. Sa signification ésotérique d’après les Gnostiques, désigne l’aîné de Sophia, qui était le Saint-Esprit (le saint fantôme féminin) ou Sakti de l’Inconnu ou l’Esprit divin, tandis que Sophia Achamoth est la personnification sous l’aspect féminin de la force mâle créatrice